Dans le cadre du festival « Curieux Printemps »
La Métropole Rouen Normandie et la Ville de Rouen célèbrent la saison du renouveau en proposant au public de découvrir les émergences artistiques du territoire à travers le Festival “Curieux Printemps”. Pour La Traverse, l’occasion est trop belle de clôturer son “Blues From Mars” par une nouvelle édition de son fameux “Spring Break”. Pour cette deuxième édition, une sélection des jeunes pousses les plus prometteuses de la scène Blues – Rock – Folk – Soul normande est invitée à se produire sur la scène de La Traverse, LA salle blues de la Métropole. La soirée se clôturera avec un artiste de notoriété internationale lié à notre territoire : Giles Hedley and the Aviators, dont le guitariste est un musicien bien repéré de la scène rouennaise, Christophe Pélissié.
Le Printemps est là, les vacances se terminent, lâchez-vous avec le “Spring Break Blues #2”.
Avec Giles Hedley & The Aviators :
Ils jouent un blues polyrythmique funky et passionné, qui s’adresse tout autant au corps qu’aux émotions. Le son hypnotique des Aviators se nourrit du blues des années 1950 des bars de Chicago et des slide guitares du delta du Mississippi. Un jour le batteur de James Brown a dit en parlant de Giles et de sa voix chaude et profonde, qu’il était « le chanteur le plus funky que j’ai entendu en Europe ». Virtuose de la slide guitare et de l’harmonica le jeu de Giles Hedley est enrichi par l’interaction créative entre batterie, basse et guitare des Aviators, chacun des instrumentistes jouissant d’une reconnaissance internationale.
Avec The Agamemnonz :
Les prodiges du surf péplum se produisent à La Traverse ! Sachez que les petites ailes sur leurs chevilles gonflées frétillent déjà d’impatience à cette idée et que c’est là le signe d’un concert du tonnerre !
Avec Bengäl :
Bengäl, un tigre dans le moteur. Ces quatre rouennais se sont recouverts des cendres de feu-Darjeeling Keepers comme pour se préparer à un rituel guerrier vaudou. Percussions tribales et martiales, hululements à la lune et strates de saturation appellent à une dernière danse avant la chagne. Le croisement entre Portishead et Grinderman, joué par une bande de sorciers évadés du bayou… (Antoine Boyer)
Avec Bones Kitchen :
« C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe… »
Celle élaborée par les 6 maîtres queux de Bones Kitchen vérifie l’adage.
Mijoté à feu doux des 70’s à nos jours dans le pot de la veille, c’est à l’épreuve du temps que ce potage a su se doter de sa saveur unique :
blues rock brûlant lorsqu’il vient d’être servi, rythm’n blues onctueux lorsqu’il est tiède…
A n’en pas douter vous serez nombreux à vous délecter de cette recette jalousement gardée, elle en surprendra aussi sans doute quelques uns, mais de toute évidence vous ne resterez pas indifférent à son goût inimitable.
Une chose est sûre elle ne refroidit jamais, alors soufflez dessus autant que vous pouvez si vous ne voulez pas vous brûler la langue,
enfin un dernier conseil : munissez vous d’un bavoir pour éviter les tâches !
Bon appétit.
